En se fondant sur les réflexions développées par le mouvement antispéciste français depuis la fin des années 1990, les auteurs plaident en faveur d'une éthique respectant tous les êtres doués de sensibilité. Ils dénoncent un système social hiérarchisé dans lequel les humains dominent toutes les autres espèces et s'attachent à démontrer que la société spéciste conduit à une impasse.